Andrée-Anne Dupuis Bourret

Description salle d'exposition :

Les tentatives et les abandons (2018-2023), images et papiers imprimés, collection d’objets et de mobiliers, tapis, ventilateurs, structures en métal, plants de romarin, matériaux divers.

Sources des collections : prototypes, travaux pratiques, objets de dons, objets et mobiliers usagés et récupérés, résidus de création en provenance des ateliers de l’UQAM.

La fête est finie, 2021-2023, papiers de soie, papiers imprimés, attaches de sac de poubelle, ruban cache, filets, ventilateurs.

Description vitrine :

Le chalet (2023), images et papiers imprimés, prototypes et matériaux divers.

Lieu de diffusion : Centre d'art Jacques et Michel Auger, Victoriaville, 2023

Photos : AADB

L’espace que nous habitons présente un monde alternatif, hybride, spéculatif. D’apparence onirique et ludique, l’exposition propose des déambulations et des réflexions matérielles sur l’organisation de nos espaces domestiques, sur les gestes quotidiens, sur la réappropriation de différents savoir-faire artisanaux et botaniques, ainsi que sur le potentiel narratif des objets qui nous entourent.

L’installation principale a été réalisée en période de confinement à partir de résidus de création, de matériaux recyclés et d’autres matériels disponibles dans la maison de l’artiste. D’autres éléments se sont ajoutés à ces collections d’objets, notamment des impressions numériques d'images de mobiliers en bois et des plants de romarin, espèces compagnes qu’elle fait proliférer dans son atelier et qui élargissent le spectre de la matière à l’œuvre.

Description : papier, filets, plantes et matériaux divers

Les plantes ont été prêtées ou données par des citoyens de la région pendant la période de résidence.

Contexte de diffusion : Exposition à l'étage de la grange lors d'une résidence de création à Adélard, Frelighsburg, 2022, https://www.adelard.org/andree-anne-dupuis-bourret

Photos : Laurence Grandbois-Bernard et AADB

L'œuvre présentée à l’étage de la grange est une installation reprenant toute une série de codes visuels explorés par Andrée-Anne Dupuis-Bourret dans ses dernières recherches.

Composée de papiers colorés et découpés et de quelques plants, cette œuvre nous plonge dans un univers onirique difficilement reconnaissable au premier regard. Sommes-nous dans une forêt hallucinée à la végétation exaltée ? Un environnement sous-marin dont les algues abondantes recouvrent les fonds ? Ou alors une forme de vie végétale extraterrestre à la fois fascinante et potentiellement dangereuse ?

Cette ambiguïté, Andrée-Anne Dupuis-Bourret la cultive aussi en termes d’échelle. Si cette immense installation semble se répandre du sol au plafond et nous envelopper de ses feuillages, c’est en fait dans le monde de l’infiniment petit que l’artiste trouve son inspiration, notamment dans l’étude des plantes au niveau cellulaire. La croissance végétale, la photosynthèse, les phénomènes de turgescence ou au contraire de contraction, sont autant d’éléments qui ont guidé la réalisation de cette œuvre.

Cette œuvre in-situ, réalisée spécialement pour la grange, répond directement au travail en cours de l’artiste présenté au rez-de-chaussée. Au fil des six semaines de résidence, plusieurs éléments s’ajouteront, soit en papier, soit en éléments vivants, comme des plants prêtés ou donnés par des habitants de la région et des producteurs maraîchers locaux.

Texte : Gauthier Melin

Description : images et papiers imprimés, collection d’objets et de mobiliers, tapis, ventilateurs, structures en métal, matériaux divers

Sources des collections : prototypes, travaux pratiques, objets de dons, objets et mobiliers usagés et récupérés, résidus de création en provenance des ateliers de l’UQAM.

Lieu de diffusion : Centre d'exposition du Vieux-Presbytère, Saint-Bruno de Montarville, 2022

Photos : AADB

Cette oeuvre fait partie de l'exposition La maison étanche, un espace d’expérimentations et d’apprentissages poétiques qui réunit un corpus d’œuvres réalisées en période de confinement à partir de résidus de création, de matériaux recyclés et d’autres matériels disponibles dans la maison de l’artiste.

Cette démarche provient d’une préoccupation écologique ainsi que d’une volonté d’apprendre à faire avec ce que nous avons. Dans cette exposition, une réflexion émerge sur l’espace domestique, sur les gestes quotidiens et sur la réappropriation de différents savoir-faire qui relient l'art et la vie.

Description : journaux sérigraphiés, matériaux divers, projet toujours en production

Lieu de diffusion : Centre d'exposition du Vieux-Presbytère, Saint-Bruno de Montarville, 2022

Photos : AADB

Cette oeuvre processuelle est composée de journaux imprimés en sérigraphie à partir de la pandémie de 2020. Elle fait partie de l'exposition La maison étanche, un espace d’expérimentations et d’apprentissages poétiques qui réunit un corpus d’œuvres réalisées en période de confinement à partir de résidus de création, de matériaux recyclés et d’autres matériels disponibles dans la maison de l’artiste.

Cette démarche provient d’une préoccupation écologique ainsi que d’une volonté d’apprendre à faire avec ce que nous avons. Dans cette exposition, une réflexion émerge sur l’espace domestique, sur les gestes quotidiens et sur la réappropriation de différents savoir-faire qui relient l'art et la vie.

Description : images imprimées, objets et mobiliers trouvés et récupérés, plants de romarins, lampes de culture, matériaux divers.

Lieu de diffusion : Centre d'exposition du Vieux-Presbytère, Saint-Bruno de Montarville, 2022

Photos : AADB

Cette oeuvre fait écho à de multiple deuils vécus par l'artiste au fil des années, aux souvenirs et aux objets qui restent et ce qu'ils racontent. Elle fait partie de l'exposition La maison étanche, un espace d’expérimentations et d’apprentissages poétiques qui réunit un corpus d’œuvres réalisées en période de confinement à partir de résidus de création, de matériaux recyclés et d’autres matériels disponibles dans la maison de l’artiste.

Cette démarche provient d’une préoccupation écologique ainsi que d’une volonté d’apprendre à faire avec ce que nous avons. Dans cette exposition, une réflexion émerge sur l’espace domestique, sur les gestes quotidiens, sur la réappropriation de différents savoir-faire et sur la réappropriation de différents savoir-faire qui relient l'art et la vie.

L'exposition La performativité des objets réunit un corpus d’œuvres qui s’intéresse à l’accumulation et à la réutilisation des objets et des matières ainsi qu’au détournement des savoir-faire artisanaux. Les explorations présentées sont composées principalement de matériaux imprimés, d’objets récupérés, de documents textuels, photographiques et vidéographiques qui proposent des narrations autour d’expériences tactiles et matérielles. En proposant des déambulations et des récits poétiques, cette exposition permet de réfléchir à l’organisation de nos espaces, à la gestion des matières résiduelles ainsi qu’au potentiel expressif et performatif des objets et des matériaux qui nous entourent.

Descriptions sommaires des œuvres :

Les explorations poétiques (La performativité des objets), 2019, vidéos, images et matériaux divers

Les explorations poétiques (Clara se recouvre), 2019, vidéo, textiles, bois, tapis et matériaux divers

Les tentatives et les abandons (collections), 2018-2021, images et papiers imprimés, objets et mobiliers trouvés et récupérés, tapis, ventilateurs, structures en métal, matériaux divers.

La fête est finie, 2021, papiers de soie, papiers imprimés, attaches de sac de poubelle, ruban cache, filets, ventilateurs.

Jeu de positionnements et d’hésitations, 2013-2021, images imprimées sur textile, cartons, peinture, ruban adhésif en vinyle, structure en métal et matériaux divers.

Appels d’air, 2021, nappes de plastique, ventilateurs, lampes et matériaux divers.

Lieu de diffusion : Maison de la culture Mercier, 2021

Photos : AADB

(La machine paysage, variation 5)

Description : papiers sérigraphiés et matériaux mixtes, dimensions variables

Lieu de diffusion : Centre d’exposition Raymond Lasnier, Trois-Rivières, 2019

Photos : AADB

La machine paysage est une installation modulaire évolutive. Elle est composée de multiples modules et objets en papier imprimé ainsi que de dispositifs qui s’assemblent pour former une construction dans laquelle on peut circuler. S’inspirant des jardins hydroponiques, des fermes verticales et des jeux vidéos, cette œuvre interroge notre manière d’organiser la nature pour la rendre plus esthétique et plus productive.

Le principe de « la machine paysage » (Cauquelin, 2025) évoque cette tentative de contrôle par l’aménagement et la fabrication. Les éléments sont d’abord dispersés tels des fragments hétérogènes. La machine cherche à agencer ces morceaux de monde qui prolifèrent. Ce processus conduit à les rassembler, à les organiser spatialement. La machine veut l’unité, la cohérence, les enchainements pourtant elle se nourrit de la multiplicité qui construit l’identité de son système. La représentation du paysage devient ainsi une construction complexe et instable.

Pour cette variation, le corpus a été divisé en deux salles, ce qui permet un déploiement plus étendu de certaines portions de l'installation. L'espace ainsi créé entre les zones offre des opportunités de déambulation et de contemplation.

(La machine paysage, variation 4)

Description : papiers sérigraphiés et matériaux mixtes, dimensions variables

Lieu de diffusion : Caravansérail, Rimouski, 2018

Photos : AADB

La machine paysage est une installation modulaire évolutive. Elle est composée de multiples modules et objets en papier imprimé ainsi que de dispositifs qui s’assemblent pour former une construction dans laquelle on peut circuler. S’inspirant des jardins hydroponiques, des fermes verticales et des jeux vidéos, cette œuvre interroge notre manière d’organiser la nature pour la rendre plus esthétique et plus productive.

Le principe de « la machine paysage » (Cauquelin, 2025) évoque cette tentative de contrôle par l’aménagement et la fabrication. Les éléments sont d’abord dispersés tels des fragments hétérogènes. La machine cherche à agencer ces morceaux de monde qui prolifèrent. Ce processus conduit à les rassembler, à les organiser spatialement. La machine veut l’unité, la cohérence, les enchainements pourtant elle se nourrit de la multiplicité qui construit l’identité de son système. La représentation du paysage devient ainsi une construction complexe et instable.

Pour cette variation, les structures autoportantes ont été mises de côté afin de mettre en valeur le plancher de la salle qui était à l'origine un cinéma. La pente permet de créer une perspective irréelle qui déséquilibre notre rapport à l'espace paysage en rendant sa représentation instable et glissante.

(La machine paysage, variation 3)

Description : papiers sérigraphiés et matériaux mixtes, dimensions variables

Lieu de diffusion : Maison de la culture Ahuntsic-Cartierville, Montréal, 2017

Photos : AADB

La machine paysage est une installation modulaire évolutive. Elle est composée de multiples modules et objets en papier imprimé ainsi que de dispositifs qui s’assemblent pour former une construction dans laquelle on peut circuler. S’inspirant des jardins hydroponiques, des fermes verticales et des jeux vidéos, cette œuvre interroge notre manière d’organiser la nature pour la rendre plus esthétique et plus productive.

Le principe de « la machine paysage » (Cauquelin, 2025) évoque cette tentative de contrôle par l’aménagement et la fabrication. Les éléments sont d’abord dispersés tels des fragments hétérogènes. La machine cherche à agencer ces morceaux de monde qui prolifèrent. Ce processus conduit à les rassembler, à les organiser spatialement. La machine veut l’unité, la cohérence, les enchainements pourtant elle se nourrit de la multiplicité qui construit l’identité de son système. La représentation du paysage devient ainsi une construction complexe et instable.

Pour cette variation, les structures autoportantes ont été mises en valeur par la salle sombre et le plancher qui reflète les éléments. L'expérience de cette exposition est plus irréelle et présente un aspect dystopique et inquiétant.

(La machine paysage, variation 2)

Description : papiers sérigraphiés et matériaux mixtes, dimensions variables

Lieu de diffusion : Engramme, Québec, 2017

Photos : AADB

La machine paysage est une installation modulaire évolutive. Elle est composée de multiples modules et objets en papier imprimé ainsi que de dispositifs qui s’assemblent pour former une construction dans laquelle on peut circuler. S’inspirant des jardins hydroponiques, des fermes verticales et des jeux vidéos, cette œuvre interroge notre manière d’organiser la nature pour la rendre plus esthétique et plus productive.

Le principe de « la machine paysage » (Cauquelin, 2025) évoque cette tentative de contrôle par l’aménagement et la fabrication. Les éléments sont d’abord dispersés tels des fragments hétérogènes. La machine cherche à agencer ces morceaux de monde qui prolifèrent. Ce processus conduit à les rassembler, à les organiser spatialement. La machine veut l’unité, la cohérence, les enchainements pourtant elle se nourrit de la multiplicité qui construit l’identité de son système. La représentation du paysage devient ainsi une construction complexe et instable.

Dans cette variation, les structures autoportantes et les éléments composant l'installation font écho à l'architecture du lieu et au paysage urbain de la basse ville de Québec. Cette résonance produit une relation entre l'extérieur et l'intérieur de la galerie. L'exposition était également visible la nuit.

(La machine paysage, variation 1)

Description : papiers sérigraphiés et matériaux mixtes, dimensions variables

Contexte de diffusion : installation présentée dans le cadre de l'exposition collective Espace imprimé, espace repensé à la Maison de la culture Mont-Royal, Montréal, 2016

Photos : AADB

La machine paysage est une installation modulaire évolutive. Elle est composée de multiples modules et objets en papier imprimé ainsi que de dispositifs qui s’assemblent pour former une construction dans laquelle on peut circuler. S’inspirant des jardins hydroponiques, des fermes verticales et des jeux vidéos, cette œuvre interroge notre manière d’organiser la nature pour la rendre plus esthétique et plus productive.

Le principe de « la machine paysage » (Cauquelin, 2025) évoque cette tentative de contrôle par l’aménagement et la fabrication. Les éléments sont d’abord dispersés tels des fragments hétérogènes. La machine cherche à agencer ces morceaux de monde qui prolifèrent. Ce processus conduit à les rassembler, à les organiser spatialement. La machine veut l’unité, la cohérence, les enchainements pourtant elle se nourrit de la multiplicité qui construit l’identité de son système. La représentation du paysage devient ainsi une construction complexe et instable.

Cette première itération de ce projet est très foisonnante. L'installation semble surgir du mur pour envahir l'espace de l'exposition collective.

(La débâcle, version 9)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Contexte de diffusion : Biennale Miniartextil (tournée), Belffroi de Mont-Rouge, Paris, 2016

Photos : AADB

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. La débâcle évoque ce glissement, ce passage. Cette installation réalisée avec des modules de papiers imprimés en sérigraphie, pliés et assemblés propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé. Par ce travail de multiplication, l’artiste explore la croissance d’une forme par la répétition et la juxtaposition. Les modules s’emboitent pour former la modélisation d’un lieu virtuel et abstrait; un espace hybride entre dessin et sculpture.

Cette oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes. Les plis modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser de possibles représentations. Par ce biais, le papier devient la métaphore d’un relief ou d’un organisme en croissance. Il se plie, se contracte, s’enfonce puis, se déplie, s’ouvre, se développe. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente à la manière d’une expérience visuelle et kinesthésique inspirée par la transformation du territoire.

(Proliferations, variation 5)

Description : papiers sérigraphiés, broches, fil de nylon, dimensions variables

Contexte de diffusion : Biennale Miniartextil (tournée), Maison Heinrich Heine, Cité interuniversitaire, Paris

Photos : AADB

Inspirée par l’imagerie scientifique et la modélisation des formes naturelles et architecturales, cette oeuvre explore différents modes d’occupation de l’espace par l’agencement de systèmes organiques et géométriques afin de questionner la manière dont les outils et les interfaces participent à construire notre vision du monde, notre subjectivité. Élaborée dans le cadre de son projet doctoral sur l’installation imprimée, La fabrication de l’espace est une installation évolutive composée majoritairement de modules et d’objets en papiers noir, blanc et gris imprimés en sérigraphie. La prémisse de ce projet est que la connaissance de l’espace est fondée sur l’expérimentation personnelle de ses composantes. Il faut interpréter les informations qu’il contient pour être en mesure de percevoir les textures, les formes et les distances. C’est à travers la mémorisation de ces expériences qu’il devient possible de donner une signification à notre environnement.

(Proliferations, version 4)

Description : papiers sérigraphiés, broches, fil de nylon, dimensions variables

Lieu de diffusion : Circa, Montréal, 2015

Photos : AADB et JSDR

Inspirée par l’imagerie scientifique et la modélisation des formes naturelles et architecturales, cette oeuvre explore différents modes d’occupation de l’espace par l’agencement de systèmes organiques et géométriques afin de questionner la manière dont les outils et les interfaces participent à construire notre vision du monde, notre subjectivité.

Élaborée dans le cadre de son projet doctoral, La fabrication de l’espace est une installation modulaire composée majoritairement de papiers noirs et blancs imprimés en sérigraphie. Les modules circulaires prolifèrent dans l’espace d’exposition à la manière d’un nuage en croissance. La structure se construit à travers sa propre logique par un processus s’apparentant à celui de la formation de la matière atomique et cellulaire. Elle rappelle également la trame d’un textile ou d’une image imprimée.

La prémisse de ce projet est que la connaissance de l’espace est fondée sur l’expérimentation personnelle de ses composantes. Il faut interpréter les informations qu’il contient pour être en mesure de percevoir les textures, les formes et les distances. C’est à travers la mémorisation de ces expériences qu’il devient possible de donner une signification à notre environnement. Dans ce contexte, cette exposition présente une expérience matérielle de l’espace qui se fonde sur une compréhension physique de notre imaginaire spatiale.

(Matricielle, version 2, variation 5)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, gommettes, dimensions variables

Lieu de diffusion : San Pedro Museo de Arte, Puebla, Mexique

La chambre matricielle est une installation évolutive composée de papiers sérigraphiés, pliés et assemblés. Inspirée par les jeux de construction et les paysages des jeux vidéos 8-bits, Andrée-Anne Dupuis Bourret explore la modularité et les variations possibles d’un système matriciel. Elle fabrique des lieux abstraits et géométriques situés au seuil entre l’espace de l’image et l’espace de l’objet. Les plis et les traits changent notre rapport à la surface imprimée, celle-ci devient modulable, transformable.

(Terraformations, variation 3)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, épingles, dimensions variables

Lieu de diffusion : Siège social de gaz Métro, Montréal

Photos : AADB

Terraformations est une installation composée de papiers sérigraphiés, pliés et assemblés. Inspirée par des amas organiques et industriels formés par des pelles mécaniques, l’artiste explore la construction modulaire et ses possibles variations. Elle fabrique des formes abstraites et géométriques situées au seuil entre l’image et l’objet. Les plis et les ouvertures modifient notre rapport à la surface imprimée qui se déploie au sol de l’espace d’exposition. Ces structures, composées de 3600 modules, s’apparentent à des modélisations du territoire générées par des programmes informatiques ou à des présences paysagères en prolifération. Terraformations remet ainsi en question nos manières habituelles de percevoir et d’interagir avec l'espace qui nous entoure.

(Papier fictions, variation 2)

Description : papiers sérigraphiés, gommette, punaises

Lieu de diffusion : Siège social de Gaz Métro, Montréal

Photos : AADB

--- Texte de projet à venir ---

(Proliferations, variation 3)

Description : papiers sérigraphiés, broches, fil de nylon, dimensions variables

Contexte de diffusion : Biennale Miniartextil, Église San Francesco, Como, Italie, 2015

Inspirée par l’imagerie scientifique et la modélisation des formes naturelles et architecturales, cette oeuvre explore différents modes d’occupation de l’espace par l’agencement de systèmes organiques et géométriques afin de questionner la manière dont les outils et les interfaces participent à construire notre vision du monde, notre subjectivité. Élaborée dans le cadre de son projet doctoral sur l’installation imprimée, La fabrication de l’espace est une installation évolutive composée majoritairement de modules et d’objets en papiers noir, blanc et gris imprimés en sérigraphie. La prémisse de ce projet est que la connaissance de l’espace est fondée sur l’expérimentation personnelle de ses composantes. Il faut interpréter les informations qu’il contient pour être en mesure de percevoir les textures, les formes et les distances. C’est à travers la mémorisation de ces expériences qu’il devient possible de donner une signification à notre environnement.

(La débâcle, version 8)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Contexte de diffusion : Biennale Miniartextil, Villa Bernasconi, Cernobbio, Italie, 2015

Photos : AADB

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. La débâcle évoque ce glissement, ce passage. Cette installation réalisée avec des modules de papiers imprimés en sérigraphie, pliés et assemblés propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé. Par ce travail de multiplication, l’artiste explore la croissance d’une forme par la répétition et la juxtaposition. Les modules s’emboitent pour former la modélisation d’un lieu virtuel et abstrait; un espace hybride entre dessin et sculpture.

Cette oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes. Les plis modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser de possibles représentations. Par ce biais, le papier devient la métaphore d’un relief ou d’un organisme en croissance. Il se plie, se contracte, s’enfonce puis, se déplie, s’ouvre, se développe. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente à la manière d’une expérience visuelle et kinesthésique inspirée par la transformation du territoire.

(Matricielle , version 2, variation 4)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, gommettes, dimensions variables

Lieu de diffusion : Musée nationale d'estampe du Mexique, Mexico

Photos : AADB et Laurent Lamarche

La chambre matricielle est une installation évolutive composée de papiers sérigraphiés, pliés et assemblés. Inspirée par les jeux de construction et les paysages des jeux vidéos 8-bits, Andrée-Anne Dupuis Bourret explore la modularité et les variations possibles d’un système matriciel. Elle fabrique des lieux abstraits et géométriques situés au seuil entre l’espace de l’image et l’espace de l’objet. Les plis et les traits changent notre rapport à la surface imprimée, celle-ci devient modulable, transformable.

(Proliferations, variation 2)

Description : papiers sérigraphiés, broches, fil de nylon, punaises, boites, dimensions variables

Lieu de diffusion : Atelier Circulaire, Montréal, 2014

Inspirée par l’imagerie scientifique et la modélisation des formes naturelles et architecturales, Andrée-Anne Dupuis Bourret explore différents modes d’occupation de l’espace par l’agencement de systèmes organiques et géométriques afin de questionner la manière dont les outils et les interfaces participent à construire notre vision du monde, notre subjectivité.

Élaborée dans le cadre de son projet doctoral sur l’installation imprimée, La fabrication de l’espace est une installation évolutive composée majoritairement de modules et d’objets en papiers noir, blanc et gris imprimés en sérigraphie. La prémisse de ce projet est que la connaissance de l’espace est fondée sur l’expérimentation personnelle de ses composantes. Il faut interpréter les informations qu’il contient pour être en mesure de percevoir les textures, les formes et les distances. C’est à travers la mémorisation de ces expériences qu’il devient possible de donner une signification à notre environnement.

Dans ce contexte, cette exposition se présente comme une expérience matérielle de l’espace qui se fonde sur une compréhension physique de notre imaginaire spatiale. Au fil de l’exposition, l’artiste est venue intervenir dans la galerie en déplaçant des éléments et en documentant la progression de cette fiction d’espace. Des documents de ces évolutions ont été publiés en continu sur Le cahier virtuel de l’artiste.

(Matricielle , version 1, variation 4)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, gommette, dimensions variables.

Lieu de diffusion : Museum of Rijswijk, Pays-Bas, 2011-2013

Inspiré par les jeux de construction et les images numériques pixelisées, l’artiste explore la construction d’espaces abstraits et géométriques. Les plis et des traits modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser des possibles représentations. Cette démarche induit une réflexion sur l’impact de l’imagerie scientifique et médiatique quant à notre manière de percevoir, d’imaginer et d’interagir avec notre environnement. De quelle manière les outils, les interfaces et les images affectent-ils notre rapport aux distances, à la temporalité?

(Proliferations, variation 1)

Description : papiers sérigraphiés, broches, fil de nylon, dimensions variables

Lieu de diffusion : Eastern Edge Gallery, St. John's, NL., 2014

La systémique des formes, exposition en duo avec Oli Sorenson, Centre d'exposition Lethbridge, Montréal, 2013

Description sommaire des oeuvres (présentées en dialogue) :

Matricielle (version 1, variation 3), papiers sérigraphiés et pliés, gommette, dimensions variables, 2011-2013

Fragments bisymétriques 2, carton, colle, peinture au latex, dimensions variables, 2013

Photos : AADB & JSDR

--- Texte de projet à venir ---

(Papier fictions, variation 2)

Description : papiers sérigraphiés, fils de nylon, gommette, punaises

Lieu de diffusion : Centre d'exposition de Val-David, 2013

photos :  JSDR & AADB

--- Texte de projet à venir ---

(La débâcle, version 7)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Lieu de diffusion : Centre d'exposition de Val-David, 2013

photos :  JSDR & AADB

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. La débâcle évoque ce glissement, ce passage. Cette installation réalisée avec des modules de papiers imprimés en sérigraphie, pliés et assemblés propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé. Par ce travail de multiplication, l’artiste explore la croissance d’une forme par la répétition et la juxtaposition. Les modules s’emboitent pour former la modélisation d’un lieu virtuel et abstrait; un espace hybride entre dessin et sculpture.

Cette oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes. Les plis modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser de possibles représentations. Par ce biais, le papier devient la métaphore d’un relief ou d’un organisme en croissance. Il se plie, se contracte, s’enfonce puis, se déplie, s’ouvre, se développe. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente à la manière d’une expérience visuelle et kinesthésique inspirée par la transformation du territoire.

(Matricielle, version 2, variation 3)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, gommettes, dimensions variables

LIeu de diffusion : Maison des artistes visuels francophones, Winnipeg, 2013.

Circuler dans une image. Pénétrer cet espace pour faire l’expérience de la tridimensionnalité. En voir émerger une œuvre aux confins du réel et du virtuel. C’est cela la Chambre matricielle!

Dans cette installation, œuvre de patience et de minutie, Andrée-Anne Dupuis Bourret révèle une cartographie intrigante composée de milliers de petits modules en papier, rouges et noirs. Les feuilles sérigraphiées qui composent chacun des éléments ont toutes été pliées de la même manière ; elles représentent de fines lignes noires sur fond rouge qui dessinent les linéaments de formes dynamiques et abstraites plus ou moins denses. Judicieusement assemblés dans l’espace à la manière des figures fractales, les modules agissent autant comme le pixel d’une image numérique que comme un élément constituant cette unité de base. Dans ce jeu visuel synecdotique, les modules-pixels s’accumulent ; ils recomposent et reconfigurent l’architecture de la galerie pour concevoir ici des régions d’une grande densité modulaire, là des zones plus épurées. La dynamique des nuances chromatiques de cette cartographie crée des rimes et des rythmes formels qui accentuent l’effet de prolifération de ces cellules numériques. Cet effet de prolifération n’est pas menaçant. Il est invitant, presque hypnotisant !

Texte : Éric Lessage, directeur artistique

(Terraformations, variation 2)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, épingles, dimensions variables

Lieu de diffusion : Atelier Silex, Trois-Rivière 2011-2013. 

Photos : AADB

Terraformations est une installation composée de papiers sérigraphiés, pliés et assemblés. Inspirée par des amas organiques et industriels formés par des pelles mécaniques, l’artiste explore la construction modulaire et ses possibles variations. Elle fabrique des formes abstraites et géométriques situées au seuil entre l’image et l’objet. Les plis et les ouvertures modifient notre rapport à la surface imprimée qui se déploie au sol de l’espace d’exposition. Ces structures, composées de 3600 modules, s’apparentent à des modélisations du territoire générées par des programmes informatiques ou à des présences paysagères en prolifération. Terraformations remet ainsi en question nos manières habituelles de percevoir et d’interagir avec l'espace qui nous entoure.

(Matricielle , version 1, variation 2)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, gommette, dimensions variables.

Lieu de diffusion : Galerie SAS,  Montréal,  2013

Inspiré par les jeux de construction et les images numériques pixelisées, l’artiste explore la construction d’espaces abstraits et géométriques. Les plis et des traits modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser des possibles représentations. Cette démarche induit une réflexion sur l’impact de l’imagerie scientifique et médiatique quant à notre manière de percevoir, d’imaginer et d’interagir avec notre environnement. De quelle manière les outils, les interfaces et les images affectent-ils notre rapport aux distances, à la temporalité?

Description : carton, colle, peinture au latex, dimensions variables

Lieu de diffusion : Galerie Sas, Montréal, 2013 

--- Texte de projet à venir ---

(Matricielle, version 2, variation 2)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, gommettes, dimensions variables

Lieu de diffusion : Martin Art Gallery, Allentown, 2013.

La chambre matricielle est une installation évolutive composée de papiers sérigraphiés, pliés et assemblés. Inspirée par les jeux de construction et les paysages des jeux vidéos 8-bits, Andrée-Anne Dupuis Bourret explore la modularité et les variations possibles d’un système matriciel. Elle fabrique des lieux abstraits et géométriques situés au seuil entre l’espace de l’image et l’espace de l’objet. Les plis et les traits changent notre rapport à la surface imprimée, celle-ci devient modulable, transformable.

(La débâcle, version 6)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Lieu de diffusion : Open Studio, Toronto, 2012

photos :  JSDR & AADB

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. La débâcle évoque ce glissement, ce passage. Cette installation réalisée avec des modules de papiers imprimés en sérigraphie, pliés et assemblés propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé. Par ce travail de multiplication, l’artiste explore la croissance d’une forme par la répétition et la juxtaposition. Les modules s’emboitent pour former la modélisation d’un lieu virtuel et abstrait; un espace hybride entre dessin et sculpture.

Cette oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes. Les plis modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser de possibles représentations. Par ce biais, le papier devient la métaphore d’un relief ou d’un organisme en croissance. Il se plie, se contracte, s’enfonce puis, se déplie, s’ouvre, se développe. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente à la manière d’une expérience visuelle et kinesthésique inspirée par la transformation du territoire.

(Matricielle , version 2., variation 1)

Description : papiers sérigraphiés, boîte en carton, rubans adhésifs, gommettes, ficelles, épingles et poids en plomb, dimensions variables

Lieu de diffusion : ARPRIM, Montréal, 2012

Photos : AADB & JSDR

La chambre matricielle (à l'époque intitulé La chambre magmatique) présente une installation évolutive composée de papiers sérigraphiés, pliés et assemblés. Inspirée par les jeux de construction et les paysages des jeux vidéos 8-bits, Andrée-Anne Dupuis Bourret explore la modularité et les variations possibles d’un système matriciel. Elle fabrique des lieux abstraits et géométriques situés au seuil entre l’espace de l’image et l’espace de l’objet. Les plis et les traits changent notre rapport à la surface imprimée, celle-ci devient modulable, transformable. Au fil de l’exposition, l’artiste modifie les configurations de l’installation, documentant au passage les détails de ces évolutions. Les modules rouges et noirs se multiplient, se déplacent et prolifèrent. Dans ce mouvement lent de la matière, l’espace d'exposition devient un laboratoire où l'œuvre se métamorphose jusqu'à sa disparition. Les documents de ces évolutions ont été publiés en continu sur Le cahier virtuel de l’artiste.

Description : série de 7 éditions d'images (1, 3, 7), impression giclée / digital print, 50 x 50 cm, 2012

(Matricielle , version 1, variation 1)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, gommette, dimensions variables.

Lieu de diffusion : Galerie Alain Piroir, 2011

Photos :  AADB et JSDR

Cette installation fut présentée lors de l’exposition Définitions d’affichage avec une série d’oeuvres en papiers imprimés et pliés. Inspiré par les jeux de construction et les images numériques pixelisées, l’artiste explore la construction d’espaces abstraits et géométriques. Les plis et des traits modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser des possibles représentations. Cette démarche induit une réflexion sur l’impact de l’imagerie scientifique et médiatique quant à notre manière de percevoir, d’imaginer et d’interagir avec notre environnement. De quelle manière les outils, les interfaces et les images affectent-ils notre rapport aux distances, à la temporalité?

Description : dessin en mouvement projeté sur une structure de cartons, projecteur, lecteur DVD et support métallique, dimensions variables

Contexte de diffusion : oeuvre présentée lors de l'exposition collective du Grupmuv Marqueurs de subduction à la Galerie B-312, Montréal, 2011.

Le projet Variations Géodésiques explore la représentation physique d’un territoire imaginé par le croisement de procédés matériels et numériques. Inspiré par les outils de modélisations 3D et les méthodes de représentations en géographie, l’artiste interroge le dispositif de l’image en mouvement par la mise en espace topographique de l’information. Cette démarche induit des liens possibles entre les notions de surface et d’interface, entre la représentation et son processus de fabrication. De quelle manière les outils, les interfaces et les images affectent-ils notre rapport aux distances, à la temporalité?

(Terraformations, variation 1)

Description : papiers sérigraphiés et pliés, épingles, dimensions variables

Contexte de diffusion : installation présenté lors de l'exposition collective Analogie du repli- une oeuvre paysage à la Maison des arts de Laval, salle Alfred Pellan, 2011

Photos : AADB et JSDR

Terraformations est une installation composée de papiers sérigraphiés, pliés et assemblés. Inspirée par des amas organiques et industriels formés par des pelles mécaniques, l’artiste explore la construction modulaire et ses possibles variations. Elle fabrique des formes abstraites et géométriques situées au seuil entre l’image et l’objet. Les plis et les ouvertures modifient notre rapport à la surface imprimée qui se déploie au sol de l’espace d’exposition. Ces structures, composées de 3600 modules, s’apparentent à des modélisations du territoire générées par des programmes informatiques ou à des présences paysagères en prolifération. Terraformations remet ainsi en question nos manières habituelles de percevoir et d’interagir avec l'espace qui nous entoure.

(La débâcle, version 5)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Lieu de diffusion : Galerie d'art de Matane, 2011

photos :  JSDR & AADB

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. La débâcle évoque ce glissement, ce passage. Cette installation réalisée avec des modules de papiers imprimés en sérigraphie, pliés et assemblés propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé. Par ce travail de multiplication, l’artiste explore la croissance d’une forme par la répétition et la juxtaposition. Les modules s’emboitent pour former la modélisation d’un lieu virtuel et abstrait; un espace hybride entre dessin et sculpture.

Cette oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes. Les plis modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser de possibles représentations. Par ce biais, le papier devient la métaphore d’un relief ou d’un organisme en croissance. Il se plie, se contracte, s’enfonce puis, se déplie, s’ouvre, se développe. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente à la manière d’une expérience visuelle et kinesthésique inspirée par la transformation du territoire.

(La débâcle, version 4)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Lieu de diffusion : Galerie Parisian Laundry, Montréal, 2011

Photos : Guy L'Heureux

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. La débâcle évoque ce glissement, ce passage. Cette installation réalisée avec des modules de papiers imprimés en sérigraphie, pliés et assemblés propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé. Par ce travail de multiplication, l’artiste explore la croissance d’une forme par la répétition et la juxtaposition. Les modules s’emboitent pour former la modélisation d’un lieu virtuel et abstrait; un espace hybride entre dessin et sculpture.

Cette oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes. Les plis modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser de possibles représentations. Par ce biais, le papier devient la métaphore d’un relief ou d’un organisme en croissance. Il se plie, se contracte, s’enfonce puis, se déplie, s’ouvre, se développe. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente à la manière d’une expérience visuelle et kinesthésique inspirée par la transformation du territoire.

(Paper Fictions, variation 1)

Description : papiers sérigraphiés, gommette, dimensions variables

Lieu de diffusion : Martha Street Studio, Winnipeg, 2011

--- Texte de projet à venir ---

(Papier fictions, variation 1)

Description :

Interventions : papier sérigraphié, épingles, gommette

Images : impressions giclées, dimensions variables

Contexte d'expérimentation : Chambre d'auberge de jeunesse à Winnipeg en janvier 2011 durant une résidence à Martha Street Studio.

--- Texte de projet à venir ---

Description : Indice du plan gris 1, 2, 3, impressions giclées, 175 x 155 cm, 2010

(La débâcle, version 3)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Lieu de diffusion : Galerie Les Territoires, Montréal, 2010

Photo : JSDR & AADB

Cette installation fut présentée dans l'exposition individuelle Inlandsis, la disparition d’un imaginaire (exposition de maîtrise).

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. Cette exposition évoque ce glissement, ce passage. Par des installations réalisées avec des modules de papiers imprimés et pliés, ainsi qu’avec des dessins en mouvement projetés sur une structure en papiers froissés, l’artiste propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé.

Cette exposition propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes et induit une interrelation entre espace, objets et individus. Les plis et des traits modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser des possibles représentations. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente alors à la manière d’un processus de fabrication et de perception pour évoquer la modélisation d’un espace abstrait inspiré par la transformation des territoires.

Description : dessin en mouvement projeté sur une structure en papiers froissés, 365 x 250 cm

Lieu de diffusion : Galerie Les Territoires, Montréal, 2010

Cette installation fut présentée dans l'exposition individuelle Inlandsis, la disparition d’un imaginaire (exposition de maîtrise).

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. Cette exposition évoque ce glissement, ce passage. Par des installations réalisées avec des modules de papiers imprimés et pliés, ainsi qu’avec des dessins en mouvement projetés sur une structure en papiers froissés, l’artiste propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé.

Cette exposition propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes et induit une interrelation entre espace, objets et individus. Les plis et des traits modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser des possibles représentations. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente alors à la manière d’un processus de fabrication et de perception pour évoquer la modélisation d’un espace abstrait inspiré par la transformation des territoires.

Description : oeuvres murales modulaires composées de photocopies pliées et assemblées, dimensions variables, 2010

(La débâcle, version 2)

Description : papiers sérigraphiés, structure en matériaux mixtes, épingles

Contetxe de diffusion : installation présentée lors de l'exposition collective Medium Resistance, Ice Box, Crane Art, Philadelphie, 2010

photo : AADB & JSDR

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. La débâcle évoque ce glissement, ce passage. Cette installation réalisée avec des modules de papiers imprimés en sérigraphie, pliés et assemblés propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé. Par ce travail de multiplication, l’artiste explore la croissance d’une forme par la répétition et la juxtaposition. Les modules s’emboitent pour former la modélisation d’un lieu virtuel et abstrait; un espace hybride entre dessin et sculpture.

Cette oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes. Les plis modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser de possibles représentations. Par ce biais, le papier devient la métaphore d’un relief ou d’un organisme en croissance. Il se plie, se contracte, s’enfonce puis, se déplie, s’ouvre, se développe. L’idée de nature est ainsi décontextualisée, fragmentée, géométrisée. L’installation se présente à la manière d’une expérience visuelle et kinesthésique inspirée par la transformation du territoire.

La débâcle 1, 2, 3, 4

impressions giclées / digital print, 95 x 75 cm

Description : dessin en mouvement projeté sur une structure en papiers froissés moving drawing projected on a ruffled paper structure

Lieu de diffusion : La chaufferie de la Coop Lezarts, Montréal, 2010

Les paysages que nous croyons permanents se transforment parfois jusqu’à la disparition de certaines représentations du monde. Cette oeuvre évoque ce glissement, ce passage. Avec des dessins en mouvement projetés sur une structure en papiers froissés, l’artiste propose un seuil entre la perception d’un espace géographique réel et sa transposition en un espace imaginé.

L'oeuvre propose des lectures multiples à parcourir dans l’ondulation des formes et des lignes et induit une interrelation entre espace, objets et individus. Les plis et des traits modifient notre rapport à la surface. Elle devient modulable, transformable à la manière d’une interface qui permet de modéliser des possibles représentations.

Description : dessin en mouvement projeté sur une structure de papiers froissés

Lieu de diffusion : La chaufferie de la Coop Lezarts, Montréal, 2009

--- Texte de projet à venir ---

Description : lecteurs dvd portatifs, boîte en foamcore

Lieu de diffusion : CDEX, Université du Québec à Montréal, 2009

Description : Le paysage digital 1, 2, 3,  impressions giclées, 2009

Description : impression giclée, 75 x 55 cm, 2009

Description : impressions giclées, pliées et assemblées , 115 x 115 cm, 2009

Description : impressions giclées, pliées et assemblées, 115 x 115 cm, 2008

Descriptions :

La valse de la montagne 1, 2, 3, impressions giclées, 2009

La valse des montagnes 1, animation en boucle projeté dans une boîte, 2009

La valse des montagnes 2, animation en boucle projeté sur un mur de pierres, 2009

Description : animation stopmotion pour projection en boucle, 2009

---Texte de projet à venir ---

Description : papier sérigraphiés pliés et collés, 175 x 175 cm, 2008

Description : sérigraphie sur papier pliées et collées, dimensions variables, 2008